Lourdes, le 11 Septembre 2008 – Lassé des incessants sarcasmes de ses camarades, Philippe Douste-Blazy a cédé subitement et annonce à Lourdes ce matin son intention de redevenir l’impitoyable chef de guerre qu’il fut à vingt ans, lorsqu’il tenait une brasserie philosophique indépendantiste (la clandestine Pergola du Diable, NDLR) au centre de sa ville chérie du Pays de Bigorre.
« Je reprends mon nom de combattant pour la Liberté ! » menace-t-il fièrement « Nous ne sommes qu’à 150 kilomètres de Bayonne… Je suis Basque ! Vous tremblerez ! Philippe Douste-Blazy est mort, vive Patxiko Doustu-Blazaru ! »
Monsieur Philippe Douste-Blazy porte désormais une cagoule noire, qui toutefois, dissimule mal son proéminent appareil auditif, ainsi qu’une inquiètante ceinture de piments d’Espelette (AOC Ezpeletako biperra, NDLR).
Une chemise blanche et un foulard rouge sang complètent sa tenue.
« Je reprends mon nom de combattant pour la Liberté ! » menace-t-il fièrement « Nous ne sommes qu’à 150 kilomètres de Bayonne… Je suis Basque ! Vous tremblerez ! Philippe Douste-Blazy est mort, vive Patxiko Doustu-Blazaru ! »
Monsieur Philippe Douste-Blazy porte désormais une cagoule noire, qui toutefois, dissimule mal son proéminent appareil auditif, ainsi qu’une inquiètante ceinture de piments d’Espelette (AOC Ezpeletako biperra, NDLR).
Une chemise blanche et un foulard rouge sang complètent sa tenue.
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