CONGRES DE REIMS : PREMIERE REACTION OFFICIELLE

Le Vatican, le 16 Novembre 2008 - Le Pape Benoît XVI s’est exprimé ce matin lors d’une brève allocution donnée depuis le célèbre balcon du Vatican sur l’issue hasardeuse du Congrès du Parti Socialiste, qui se tenait à Reims ces trois jours derniers.

Particulièrement visée, Ségolène Royal a fait les frais de la salubre colère du Saint-Père, qui notamment, s’est offusqué des nombreuses allusions bibliques de la candidate au poste de Premier Secrétaire.

« Chacun » a martelé Benoît XVI, chancelant et visiblement hors de lui, « mais avant tout, chacune, se doit de rester à sa place ! Je ne crois pas que l’Église, d'ici, à Rome, se soit jamais prononcée sur l’administration de la région Poitou Charente ou alors, c’est qu’on m’aura mal renseigné : pour ma part, je ne tolérerai pas plus longtemps ces pratiques, qui à mon sens, s’apparentent à une forme pernicieuse, larvée et lâche de parasitisme, de la part d’une triste ménagère, probablement frustrée et qui sans crainte du ridicule, cultive sa ressemblance avec Marie. »

Du côté du Vatican, on n’a pas commenté officiellement l'inopinée et très violente « sortie » du Pape, à laquelle environ 2000 personnes assistaient ce matin.

Sous couvert d’anonymat cependant, un Évêque français, contacté aujourd’hui par téléphone, a concédé que Monsieur Ratzinger avait peut-être « pété un boulon », précisant dans la foulée que « ceci expliquant sans doute cela, quand on charge un peu la mule la veille au soir, il arrive qu'on soit plus ou moins con le lendemain. »

Réagissant spontanément auprès de l'Agence des Francs-Partisans suite à cette déclaration somme toute fielleuse, le sommelier du Vatican a tenu à faire savoir que les importantes réserves de vodka au poivre constituées à l'époque par Jean-Paul II étaient pratiquement épuisées.

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