Varennes-Vauzelles, le 15 Novembre 2008 – Ils ont déjà fait couler beaucoup d’encre. Ils ne s’attaquaient pas à la SNCF, mais à La Poste. Un dangereux gang d’anarchistes d’ultra-gauche vient d’être démantelé dans la Nièvre, à Varennes-Vauzelles, où usant de techniques de pointe, il sévissait depuis près de neuf jours.
Repéré par Scotland Yard en 2001 et placé sous écoute, alors qu’il se trouvait en Angleterre pour un échange linguistique dans le cadre de son année de quatrième au collège Henri Wallon, le cerveau présumé du groupe, dont l’identité n’a pas été révélée, était alors soupçonné d’avoir écouté à trois reprises le violent manifeste intitulé « Hexagone » du très polémique chanteur anarcho-mitterandiste Renaud.
De retour en France, il n’aurait pas tardé à se constituer en réseau, afin de commettre ses forfaits, créant dans le plus grand secret une cellule invisible ayant pour projet la lutte armée. Ça n’est pourtant qu’à l’automne 2008, que le groupuscule, comptant pas moins de sept révolutionnaires auto-proclamés, s’estime prêt et passe à l’action.
Le 7 novembre, le pneu avant droit de la 4L du facteur de Varennes-Vauzelles est crevé.
Le 9 novembre, les clés du cadenas de sa mobylette disparaissent.
Le 13, enfin, un chewing-gum mâché est glissé dans la boîte au lettre se trouvant à l’angle de l’avenue Jean Jaurès et de la rue des Écouvillons.
L’intervention du GIGN, hier, a mis un terme aux sabotages de ces activistes libertaires, dont l’un malheureusement, a été abattu lors de l’assaut de l’appartement où ils s’étaient retranchés.
Le parquet a bien évidemment requis des poursuites à l’encontre de ces jeunes déséquilibrés, qui désormais, « ont en commun d'avoir participé à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et d'être les auteurs de dégradations en réunion dans une perspective terroriste ».
Ces délits sont passibles de dix ans d'emprisonnement.
Repéré par Scotland Yard en 2001 et placé sous écoute, alors qu’il se trouvait en Angleterre pour un échange linguistique dans le cadre de son année de quatrième au collège Henri Wallon, le cerveau présumé du groupe, dont l’identité n’a pas été révélée, était alors soupçonné d’avoir écouté à trois reprises le violent manifeste intitulé « Hexagone » du très polémique chanteur anarcho-mitterandiste Renaud.
De retour en France, il n’aurait pas tardé à se constituer en réseau, afin de commettre ses forfaits, créant dans le plus grand secret une cellule invisible ayant pour projet la lutte armée. Ça n’est pourtant qu’à l’automne 2008, que le groupuscule, comptant pas moins de sept révolutionnaires auto-proclamés, s’estime prêt et passe à l’action.
Le 7 novembre, le pneu avant droit de la 4L du facteur de Varennes-Vauzelles est crevé.
Le 9 novembre, les clés du cadenas de sa mobylette disparaissent.
Le 13, enfin, un chewing-gum mâché est glissé dans la boîte au lettre se trouvant à l’angle de l’avenue Jean Jaurès et de la rue des Écouvillons.
L’intervention du GIGN, hier, a mis un terme aux sabotages de ces activistes libertaires, dont l’un malheureusement, a été abattu lors de l’assaut de l’appartement où ils s’étaient retranchés.
Le parquet a bien évidemment requis des poursuites à l’encontre de ces jeunes déséquilibrés, qui désormais, « ont en commun d'avoir participé à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et d'être les auteurs de dégradations en réunion dans une perspective terroriste ».
Ces délits sont passibles de dix ans d'emprisonnement.
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