Beijing, le 07 octobre 2008 - La bourse de Shanghai a connu hier sa plus forte croissance depuis son ouverture en 1999, avec une hausse de 21,9%. Ce bond historique dénote avec la situation morose des marchés mondiaux, après le krach du lundi 06 octobre qui a balayé les places boursières occidentales.
L'annonce par le gouvernement chinois de sa volonté de racheter la Côte d'Azur, le Luxembourg et la Hongrie serait à l'origine de cet accès de confiance des opérateurs chinois. Dotée de solides liquidités en dollar chèrement accumulées ces dernières années (env 250 milliards de dollars , ndlr) la Chine est désormais en position d'arbitre économique et peut se permettre de débourser des milliards pour renflouer les caisses de pays entiers. "La Chine est un grand pays qui souhaite la paix et l'harmonie sur la planète", a commenté, sibyllin, le ministre chinois des Affaires économiques. "Si nous pouvons aider les peuples européens à sortir de la panade et leur proposer de nous rejoindre vers une croissance heureuse et équilibrée, et bien nous n'hésiterons pas", a-t'il ajouté.
Connue uniquement de rares spécialistes hier dans la soirée, ces informations propres a provoquer la panique ont été soigneusement camouflées par la Banque centrale de l'Europe, jusqu'à ce qu'un journaliste des Francs Partisans parvienne à la publier ce matin à ses risques et périls.
LV
L'annonce par le gouvernement chinois de sa volonté de racheter la Côte d'Azur, le Luxembourg et la Hongrie serait à l'origine de cet accès de confiance des opérateurs chinois. Dotée de solides liquidités en dollar chèrement accumulées ces dernières années (env 250 milliards de dollars , ndlr) la Chine est désormais en position d'arbitre économique et peut se permettre de débourser des milliards pour renflouer les caisses de pays entiers. "La Chine est un grand pays qui souhaite la paix et l'harmonie sur la planète", a commenté, sibyllin, le ministre chinois des Affaires économiques. "Si nous pouvons aider les peuples européens à sortir de la panade et leur proposer de nous rejoindre vers une croissance heureuse et équilibrée, et bien nous n'hésiterons pas", a-t'il ajouté.
Connue uniquement de rares spécialistes hier dans la soirée, ces informations propres a provoquer la panique ont été soigneusement camouflées par la Banque centrale de l'Europe, jusqu'à ce qu'un journaliste des Francs Partisans parvienne à la publier ce matin à ses risques et périls.
LV
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