Ülstreihm, le 05 octobre 2008 - Un commando de Greenpax France a attaqué le local régional de Greenpax Allemagne, dans la ville frontalière d'Ülstreihm, provoquant de nombeux blessés et d'importants dégats matériels, a constaté un FP. Les heurts se sont déroulés dimanche entre 15h et 17h, avant que la police n'intervienne et interpelle une cinquantaine de personnes.
Une quarantaine de jeunes français, membres de la section strabourgeoise de Greenpax avaient décidé de "remettre les Allemands dans le droit chemin", selon les premiers éléments de l'enquête. Les jeunes allemands ne s'en sont pas laissés compter et ont vivement réagit à ce qu'ils ont considéré comme "une agression transfrontalière aggravée et une atteinte à la Charte internationale de Greenpax", selon Franck Biskerdanner, bourgmestre d'Ülstreihm.
L'interrogation des premiers suspects laisse entendre qu'un différent sur l'utilisation d'autocollants et autres matériels militants (affiches, prospectus, dépliants, ndlr) de l'association soit à l'origine de l'émeute. Les jeunes français auraient jugé que les Allemands critiquaient l'énergie nuléaire française dans leurs autocollants, alors même que leur local est alimenté par la ligne à haute tension en provenance de la centrale atomique alsacienne de Fessenheim.
Cette dichotomie entre les principes et les actes aurait échauffé les esprits de part et d'autre au cours des semaines précédentes, et suite à des échanges de mail injurieux ces derniers jours, les Français aurait décidé de passer à l'acte.
Cet évènement porte un coup dur à Greenpax en Europe, déjà sévèrement grippée par une série de scandales portant sur l'origine du papier utilisé dans les photocopieuses des bureaux français, danois et polonais de l'association.
LV
Une quarantaine de jeunes français, membres de la section strabourgeoise de Greenpax avaient décidé de "remettre les Allemands dans le droit chemin", selon les premiers éléments de l'enquête. Les jeunes allemands ne s'en sont pas laissés compter et ont vivement réagit à ce qu'ils ont considéré comme "une agression transfrontalière aggravée et une atteinte à la Charte internationale de Greenpax", selon Franck Biskerdanner, bourgmestre d'Ülstreihm.
L'interrogation des premiers suspects laisse entendre qu'un différent sur l'utilisation d'autocollants et autres matériels militants (affiches, prospectus, dépliants, ndlr) de l'association soit à l'origine de l'émeute. Les jeunes français auraient jugé que les Allemands critiquaient l'énergie nuléaire française dans leurs autocollants, alors même que leur local est alimenté par la ligne à haute tension en provenance de la centrale atomique alsacienne de Fessenheim.
Cette dichotomie entre les principes et les actes aurait échauffé les esprits de part et d'autre au cours des semaines précédentes, et suite à des échanges de mail injurieux ces derniers jours, les Français aurait décidé de passer à l'acte.
Cet évènement porte un coup dur à Greenpax en Europe, déjà sévèrement grippée par une série de scandales portant sur l'origine du papier utilisé dans les photocopieuses des bureaux français, danois et polonais de l'association.
LV
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