Berne, le 12 octobre 2008 - La Confédération Helvétique (La Suisse, ndlr) vient de recruter 5150 douaniers pour sécuriser son territoire, a t-on appris de sources officielles. Ces nouveaux officiers helvètes viennent s'ajouter aux 7 millions de Suisses qui se surveillent déjà entre eux.
"Depuis quelques mois, l'inquiétude des opérateurs a provoqué une afflux massif de liquidités dans nos coffres-forts. Jusque là, c'était le meilleur des mondes. Mais le krach de la semaine dernière a aggravé le phénomène au delà du raisonnable : les riches du monde entier se pressent à nos portes pour y déposer leur argent. Il y a actuellement des hordes de familles riches qui campent devant nos banques, enchainées à leurs mallettes de billets. Et je ne vous parle même pas de ceux qui s'entassent aux postes douaniers. La situation sanitaire là bas fait froid dans le dos ! Or, vous imaginez bien que cette pagaille n'est pas dans nos usages. Nous avons donc décidé de faire un tri entre les riches et les ultra-riches. Les consignes données aux douaniers sont claires : refouler les riches en dehors de nos frontières, par la force s'il le faut, et laisser entrer ceux qui ont vraiment ENORMEMENT d'argent. Nous ne pouvons nous permettre d'accueillir toute la richesse du monde dans nos banques !", a expliqué Mancevin Lingoderm, président de la Société unitaire des investissements sécurisé suisses (le SUISS; ndlr).
La décisison suisse, qui a fait couler beaucoup d'encre dans le landerneau, a déjà des effets pervers chez ses voisins transalpins. En France, en Lombardie indépendante et en Autriche, des malfaiteurs aguerris rapinent à qui mieux mieux les riches refoulés de Suisse.
En conséquence, de nombreuses familles sont d'ores et déjà sur la route avec leurs baluchons, délestées de leurs fortunes, et il est fort à craindre que des problèmes sociaux surgissent rapidement. Les Italiens, qui ont déjà à gérer l'errance des roms et des immigrés sub-sahariens, risquent notamment de se retourner violemment contre ces riches devenus des nouveaux pauvres.
LV
"Depuis quelques mois, l'inquiétude des opérateurs a provoqué une afflux massif de liquidités dans nos coffres-forts. Jusque là, c'était le meilleur des mondes. Mais le krach de la semaine dernière a aggravé le phénomène au delà du raisonnable : les riches du monde entier se pressent à nos portes pour y déposer leur argent. Il y a actuellement des hordes de familles riches qui campent devant nos banques, enchainées à leurs mallettes de billets. Et je ne vous parle même pas de ceux qui s'entassent aux postes douaniers. La situation sanitaire là bas fait froid dans le dos ! Or, vous imaginez bien que cette pagaille n'est pas dans nos usages. Nous avons donc décidé de faire un tri entre les riches et les ultra-riches. Les consignes données aux douaniers sont claires : refouler les riches en dehors de nos frontières, par la force s'il le faut, et laisser entrer ceux qui ont vraiment ENORMEMENT d'argent. Nous ne pouvons nous permettre d'accueillir toute la richesse du monde dans nos banques !", a expliqué Mancevin Lingoderm, président de la Société unitaire des investissements sécurisé suisses (le SUISS; ndlr).
La décisison suisse, qui a fait couler beaucoup d'encre dans le landerneau, a déjà des effets pervers chez ses voisins transalpins. En France, en Lombardie indépendante et en Autriche, des malfaiteurs aguerris rapinent à qui mieux mieux les riches refoulés de Suisse.
En conséquence, de nombreuses familles sont d'ores et déjà sur la route avec leurs baluchons, délestées de leurs fortunes, et il est fort à craindre que des problèmes sociaux surgissent rapidement. Les Italiens, qui ont déjà à gérer l'errance des roms et des immigrés sub-sahariens, risquent notamment de se retourner violemment contre ces riches devenus des nouveaux pauvres.
LV
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