Paris, le 30 Octobre 2008 - Retour de printemps ou fantaisie capillaire innocente, Monsieur Valéry Giscard d'Estaing, qui récemment, s'est fait implanter dans une clinique privée des Hauts de Seine cette épaisse chevelure blonde lui donnant, selon certains, de faux airs de Jean Sarkozy, a bel et bien semé le désarroi parmi ses pairs de l'Académie Française.
En effet, réunis hier devant un important parterre de journalistes dans un café bien connu de la rive gauche, Messieurs Erik Orsenna, Michel Serres, Alain Decaux et Jean-Loup Dabadie entre autres, se sont levés comme un seul homme et fort vivement, afin de dénoncer ce qu'ils ont appelé "l'odieuse tant que spécieuse tentative jeuniste" grâce à laquelle le Président, estiment-ils, "renonce au sacerdoce de la langue et se perd en oiseux subterfuges pour mieux serrer les meufs qui gravitent dans les faubourgs de l'institution."
Seul franc tireur, monsieur Max Gallo, quant à lui, a préféré réagir individuellement, adressant dans sa "Lettre ouverte aux fausses blondes", parue ce matin dans les grands quotidiens nationaux, un avertissement solennel à Monsieur Giscard d'Estaing qui selon lui "ne doit pas perdre de vue qu'une modification des statuts séculaires de l'Académie pourrait très bien rendre ses sièges tout à coup plus... Ejectables". "Une mesure" explique-t-il ensuite "qui s'appliquerait sans mal dans le cas d'un membre déviant, adressant de la sorte aux vénérables (sic) un signal tranchant de mépris et de désengagement."
Dépité, Jean D'Ormesson n'a pour sa part émis aucune espèce de commentaire.
Il semble néanmoins que le geste inconsidéré de Monsieur Valéry Giscard d'Estaing lui ait pesé sur le cœur et valu de développer un psoriasis somatique purulent qui d'ores et déjà, murmure-t-on, lui aurait emporté la moitié du visage.
En effet, réunis hier devant un important parterre de journalistes dans un café bien connu de la rive gauche, Messieurs Erik Orsenna, Michel Serres, Alain Decaux et Jean-Loup Dabadie entre autres, se sont levés comme un seul homme et fort vivement, afin de dénoncer ce qu'ils ont appelé "l'odieuse tant que spécieuse tentative jeuniste" grâce à laquelle le Président, estiment-ils, "renonce au sacerdoce de la langue et se perd en oiseux subterfuges pour mieux serrer les meufs qui gravitent dans les faubourgs de l'institution."
Seul franc tireur, monsieur Max Gallo, quant à lui, a préféré réagir individuellement, adressant dans sa "Lettre ouverte aux fausses blondes", parue ce matin dans les grands quotidiens nationaux, un avertissement solennel à Monsieur Giscard d'Estaing qui selon lui "ne doit pas perdre de vue qu'une modification des statuts séculaires de l'Académie pourrait très bien rendre ses sièges tout à coup plus... Ejectables". "Une mesure" explique-t-il ensuite "qui s'appliquerait sans mal dans le cas d'un membre déviant, adressant de la sorte aux vénérables (sic) un signal tranchant de mépris et de désengagement."
Dépité, Jean D'Ormesson n'a pour sa part émis aucune espèce de commentaire.
Il semble néanmoins que le geste inconsidéré de Monsieur Valéry Giscard d'Estaing lui ait pesé sur le cœur et valu de développer un psoriasis somatique purulent qui d'ores et déjà, murmure-t-on, lui aurait emporté la moitié du visage.
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1 commentaire:
Non mais quelle désinvolture!? Je ne peux pas m'empêcher de sourire devant la vigueur de la jeunesse. On m'a rapporté qu'il boudait depuis que Jacueline de Romilly lui avait refusé sa "petite turlute".
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