Bethune, le 24 octobre 2008 - Interrogé à la sortie de la projection du film "Mesrine, l'instinct de mort", le socialiste Jack Lang a jugé que le voyou emblématique des années 70 et 80 était un peu "surfait".
"Je ne comprends pas toute cette vaine agitation autour d'un braqueur de banques. C'était un personnage grossier, un peu surfait, absolument pas en phase avec l'élégance d'un Arsène Lupin, par exemple", a-t-il notamment déclaré.
"Il y a beaucoup d'autres Jacques célèbres, à l'instart de Jacques Chirac, les Frères Jacques, Jacquou le Croquant, et j'en passe ! Cette folie médiatique autour de Mesrine est incompréhensible", a ensuite précisé Jack Lang.
Dans le milieu de la production française, ainsi que dans le milieu de la politique politicienne, on soupçonne de plus en plus M.Lang de jalousie envers M.Mesrine. Ayant échoué d'une part à braquer le PS, et d'autre part à rafler la cagnote de la rupture sarkozyste, M.Lang serait fort aigri de voir un autre Jacques se tailler la part du lion dans les medias.
LV
"Je ne comprends pas toute cette vaine agitation autour d'un braqueur de banques. C'était un personnage grossier, un peu surfait, absolument pas en phase avec l'élégance d'un Arsène Lupin, par exemple", a-t-il notamment déclaré.
"Il y a beaucoup d'autres Jacques célèbres, à l'instart de Jacques Chirac, les Frères Jacques, Jacquou le Croquant, et j'en passe ! Cette folie médiatique autour de Mesrine est incompréhensible", a ensuite précisé Jack Lang.
Dans le milieu de la production française, ainsi que dans le milieu de la politique politicienne, on soupçonne de plus en plus M.Lang de jalousie envers M.Mesrine. Ayant échoué d'une part à braquer le PS, et d'autre part à rafler la cagnote de la rupture sarkozyste, M.Lang serait fort aigri de voir un autre Jacques se tailler la part du lion dans les medias.
LV
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