Paris, le 22 Octobre 2008 - C'est en Tacchini de pied en cap, à l'instar de l'ensemble de son Gouvernement (voir notre dépêche du 21 Octobre 2008), que Monsieur Nicolas Sarkozy a présidé ce matin le traditionnel Conseil des Ministres de L'Élysée.
Seule à vrai dire, Madame Roselyne Bachelot détonnait en l'occurrence, puisque sans qu'on n'en ait pu déterminer la raison exacte à l'heure où nous publions, notre Ministre de la Santé, de la jeunesse, des Sports et de la Vie Associative, s'était vue quant à elle attribuer un paradoxal équipement de marque Puma bleu turquoise, certes du bel effet, mais en inadéquation avec le mot d'ordre de cohésion, qui fait actuellement la ligne de la majorité.
Ce détail réglé, Monsieur Sarkozy, fidèle à sa - pour ainsi dire, éthique de la rupture et de l'innovation a pu expédier l'ordre du jour (Communication audiovisuelle et nouveau service public de la télévision, Réforme de l’hôpital, patients, santé et territoires et Gestion d’actifs pour compte de tiers), afin d'en venir au plus vite au point le plus important ce mercredi 22 Octobre.
Un rien fier et solennel, il a alors pu présenter à son Gouvernement le poste de représentation holographique d'un Général de Gaulle grandeur nature, qui équipera désormais la salle du Conseil.
Cet hologramme, chargé notamment de réintroduire un peu de Gaullisme authentique au sein d'une équipe en manque de repère, possède pour caractéristique d'être commandé par une application mise au point par le CNRS, qui, à l'aide d'une série de calculs algorithmiques longue et complexe, parvient à reproduire fidèlement les modes de pensée, de fonctionnement et d'expression du Général - au point qu'on parle déjà de première en matière d'intelligence artificielle.
Il aura naturellement toute latitude d'intervenir au cours des débats, avec pour restriction unique, l'interdiction formelle de couper la parole du Président.
Puis, hasard conjoncturel lié à l'inauguration de leur nouvelle tenue ou réelle ambition stratégique, les "bleus" ont longuement discuté des intérêts comparés d'évoluer en 4-4-2 ou 4-3-2-1, avec Franck Lebœuf (voir notre dépêche du 20 Octobre 2008) en charnière centrale.
L'hologramme du Général, les bras levés, a affirmé les avoir compris.
Seule à vrai dire, Madame Roselyne Bachelot détonnait en l'occurrence, puisque sans qu'on n'en ait pu déterminer la raison exacte à l'heure où nous publions, notre Ministre de la Santé, de la jeunesse, des Sports et de la Vie Associative, s'était vue quant à elle attribuer un paradoxal équipement de marque Puma bleu turquoise, certes du bel effet, mais en inadéquation avec le mot d'ordre de cohésion, qui fait actuellement la ligne de la majorité.
Ce détail réglé, Monsieur Sarkozy, fidèle à sa - pour ainsi dire, éthique de la rupture et de l'innovation a pu expédier l'ordre du jour (Communication audiovisuelle et nouveau service public de la télévision, Réforme de l’hôpital, patients, santé et territoires et Gestion d’actifs pour compte de tiers), afin d'en venir au plus vite au point le plus important ce mercredi 22 Octobre.
Un rien fier et solennel, il a alors pu présenter à son Gouvernement le poste de représentation holographique d'un Général de Gaulle grandeur nature, qui équipera désormais la salle du Conseil.
Cet hologramme, chargé notamment de réintroduire un peu de Gaullisme authentique au sein d'une équipe en manque de repère, possède pour caractéristique d'être commandé par une application mise au point par le CNRS, qui, à l'aide d'une série de calculs algorithmiques longue et complexe, parvient à reproduire fidèlement les modes de pensée, de fonctionnement et d'expression du Général - au point qu'on parle déjà de première en matière d'intelligence artificielle.
Il aura naturellement toute latitude d'intervenir au cours des débats, avec pour restriction unique, l'interdiction formelle de couper la parole du Président.
Puis, hasard conjoncturel lié à l'inauguration de leur nouvelle tenue ou réelle ambition stratégique, les "bleus" ont longuement discuté des intérêts comparés d'évoluer en 4-4-2 ou 4-3-2-1, avec Franck Lebœuf (voir notre dépêche du 20 Octobre 2008) en charnière centrale.
L'hologramme du Général, les bras levés, a affirmé les avoir compris.
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